RÉFLEXES ARCHAÏQUES &
MOUVEMENTS RYTHMÉS

L’intégration de réflexes archaïques  dynamiques et posturaux (Docteur Sveltana Masgutova) est une approche douce permettant d’intégrer des réflexes nécessaires au développement du mouvement du nourrisson et de l’enfant.
Il arrive que l’enfant ait des réflexes « involontaires » qui parasitent son développement et freinent l’apprentissage. Ces difficultés liées à l’histoire de sa venue au monde et laissant des réflexes dynamiques et posturaux « non intégrés» dans son développement moteur, peuvent avoir une incidence sur le plan scolaire.

« Le mouvement c’est la vie ! »
In utéro, le mouvement et la perception sensorielle ne font qu’un. C’est à partir du mouvement que le cerveau se développe petit à petit et non l’inverse. L’expérience motrice du bébé est d’autant plus riche que la mère bouge. En d’autres termes, l’enfant dans le ventre de la mère répond aux stimulations de son environnement – qui est la mère.

Au cours de la séance, le praticien exerce des pressions douces sur certaines parties du corps, calées sur la respiration de l’enfant qui est confortablement installé sur une table de massage. Il peut aussi y associés des mouvements rythmés naturels facilitant l’intégration sensori-motrice.
Petit à petit le cerveau va enregistrer de nouvelles informations kinesthésiques qui vont équilibrer les réflexes désactivés.

Les réflexes archaïques naissent in utero et pendant les premiers mois de la vie. Ce sont des mouvements innés et primitifs qui sont activés pour libérer notre potentiel pour ouvrir de nouvelles portes à la croissance et au bien-être.

 

Approche très bénéfique et fondamentale pour les enfants dans leur développement pour faciliter l’apprentissage et être à l’aise physiquement, émotionnellement pour bien grandir au quotidien.

 

Lorsqu’il y a eu des complications in utero, à l’accouchement, ou pendant les premiers mois de la vie, cette approche est particulièrement recommandée.

Quelques indications

– Les enfants ayant des  ‘dys’  (dyslexie, dyspraxie, dysphasie), des troubles de
l’attention (TDA), une hyperactivité (TDAH), les enfants précoces, ceux
souffrant d’énurésie, d’enfermements, d’autisme, de peurs intenses, de
phobies, de troubles du sommeil, ayant eu des otites à répétitions, portant des lunettes, des semelles correctives, des gouttières ou des appareils dentaires…
– Les enfants nés prématurément ou avec césarienne, forceps, double circulaire, péridurale
– Les enfants n’ayant pas été allaités, qui n’ont pas rampé ou marché à quatre
pattes,
– Les enfants ayant eu des complications in utéro (naissance après une fausse
couche, perte d’un jumeau, événement traumatique pendant la grossesse pour la famille ou la mère (perte d’un être cher, séparation, déménagement, absence
du père).